Bonjour à tous !
On se retrouve comme promis pour le bilan du mois (et à l’heure, cette fois-ci n’est pas coutume). Le début du mois de septembre a été un peu chaotique à cause du Covid-19, des décisions gouvernementales et de mes patrons (pas trop conciliants quant aux cas de force majeure…), mais j’ai réussi à rebondir dans la seconde partie du mois et ça reste très positif globalement !
Comme la dernière fois, je vous mets mon tableau d’objectifs prévus :
Découvrons plus en détails tout ce que cela a donné 🙂
Bilan du mois de septembre 2020
Mes objectifs mensuels étaient les suivants :
- Écrire un minimum de 5.000 mots pour Luciole ;
- Terminer la réécriture/relecture de Mauvaise passe ;
- Terminer l’écriture de Pour un verre de vin... ;
- Terminer la relecture du Renard invisible.
Et le résultat en image :
- Je comptabilise un total de 6.285 mots sur Luciole ;
- Je comptabilise un total de 8.475 mots sur Le Renard invisible ;
- J’ai effectué la première relecture du Renard invisible à 87%.
En terme de mots écrits, cela nous fait un total de 14.760 sur le mois, ce qui met complètement par terre mon score précédent.
Comme je le disais un peu plus haut, un énorme facteur stress a entraîné un gros blocage d’écriture pendant les deux premières semaines (où je me suis surtout concentrée sur la relecture dans un premier temps, mais j’ai réussi à m’en remettre et à reprendre petit à petit le fil de l’écriture de mon roman principal. Mon lieu de vacances est d’ailleurs si inspirant que mes mots journaliers décollent (1.000 à 1.500 mots par jour ! Cela ne m’était plus arrivé depuis longtemps). J’espère conserver le même rythme jusqu’à la fin de mes vacances (vers mi-octobre).
Parlons projet par projet pour voir l’avancée de chacun (même si vous en avez déjà eu un petit aperçu avec mon dernier article) :
Luciole
Luciole vient de fêter sa 86ème page et la clôture de son 8ème chapitre ! Envoyez les confettis ! Il frôle les 50.000 mots (et presque les 287.000 sec) et promet de continuer à grandir encore un peu. Le chapitre 9 est à peine commencé et porte le nom suivant : Sonate des trilles de la Belle Dame ~ Violento. Le 8ème chapitre portait le nom de Sonate des trilles de la Belle Dame ~ Allegretto. On va amorcer le gros dénouement du pitch entre Dragomir et Dana, et ça promet d’être électrique !
Pour ceux qui ne le savent pas encore, les titres des chapitres sont tirés de la musique classique pour la grosse majorité et/ou du nom de pièces de théâtre pour un petit nombre d’entre eux. Pour quelle raison ? Il me fallait frapper différemment, puisque mon personnage-héros est différent des êtres humains qu’il côtoie (en terme de pensée logique surtout). Et puis, les arts vont si bien aux fées *rires*.
Le Renard invisible
De son côté, notre Renard entame sa 36ème page pour près de 22.000 mots et 127.000 sec. Comme je le disais dans un article précédent, c’est un bébé qui commence à devenir un grand bambin, peut-être même un peu trop gros pour le classifier de nouvelle ou de novella. Dans l’idée, l’histoire de Nyssa peut tout à fait servir d’introduction à celle d’Héron (afin de lui faire écho) surtout qu’au fond… le titre du récit porte sur les deux personnages. Une idée qui fait de plus en plus son chemin…
La première partie portera donc sur Nyssa, une jeune citoyenne athénienne devenue esclave suite aux dettes contractées par ses parents en fuite… et qui croisera sur son chemin un dieu qu’elle pensait issu de l’esprit des Hommes : Hermès, protecteur des négociants et des voyageurs, mais aussi des voleurs. La rencontre improbable se transforme donc en union. De là découlera un demi-dieu insoumis à l’autorité et aventureux comme personne, Héron. Je ne sais pas encore si je reprendrais la seconde partie à l’aube de ses sept ans, à son arrivée auprès de Chiron, ou un peu plus tard. J’y réfléchis encore !
En tous les cas, il va falloir que je décide si la seconde partie s’amorcera uniquement du point de vue d’Héron (et ça a l’air bien parti pour) ou non. Qui sait ? Peut-être que j’arriverais à broder l’anthologie de ses compagnons par la suite ? À voir, donc !
Mes objectifs pour octobre
Le temps file tellement à une vitesse que je n’arrive jamais à clôturer tous les projets voulus depuis trop longtemps. Et j’ai cruellement besoin de papillonner de temps à autre. Je penche donc pour adapter mes objectifs du mois : au lieu de « terminer » quelque chose, plutôt « travailler » sur quelque chose en variant les récits d’un jour à l’autre, de quoi conserver et aviver mon intérêt au lieu de le laisser petit à petit se faner.
Du coup, cette fois-ci, je ne m’impose rien de concret (à part pour Luciole évidemment) et je vais gérer petit à petit au fil de mes semaines à venir :
Ce qui nous donne :
- Écrire un minimum de 5.000 mots pour Luciole ;
- Continuer ou terminer la relecture du Renard invisible ;
- Continuer la relecture de Mauvaise passe
- Continuer l’écriture de Pour un verre de vin…
- Commencer la relecture (des chapitres 3 et suivants) du Moineau Tigré
Non, vous ne rêvez pas ! Je compte bien poursuivre ma relecture du Moineau Tigré afin de pouvoir mener les deux projets de front (Luciole et Le Moineau Tigré), tout en variant les plaisirs dès que j’en ressens le besoin et/ou l’envie. Parce que l’écriture, on en revient toujours à ça : l’envie.
Voyons voir si assouplir les objectifs ne va pas me donner un petit coup de pouce pour en accomplir certains cette fois-ci, même si ça revient à n’avancer qu’au compte-goutte 🙂 Nous verrons bien !
Je vous dis à bientôt pour le prochain article et/ou le prochain bilan 😉
Vague Espoir 